Nom : leg maudit de l'empereur Lewis. Le destrier souillé par les nombreuses batailles, pied à terre conquérant. Le naufrage comme seule destination. Ce nom, témoin solitaire des guerres intérieures qui ramènent presque toujours la belle vers un rivage sûr. L'illusion que l'oasis paraît au bout du chemin - Prénom : l'Adriatique comme berceau de son doux patronyme, référence sulfureuse à une quelconque célébrité plus qu'à la mer rebelle dont il est issu. Innocence saupoudrée d'acculture de la part de ses parents. Il sonne seul et ne connait de suite car, comme sa détentrice, il vogue sans filet, la sûreté assurée par sa seule présence - Surnom : Il est aisé et facile à manipuler, Addie. Diminutif simple à la consonance libre. La promesse d'un coeur pur et de mots salvateurs. Le poignard qui pointe dès qu'il surgit car usité par son bourreau. Il roule sur une seule paire de lippes, celles d'un même naufragé qu'elle nomme "ami". La complainte du mal sublimée par l'appel du bien, la voix masculine autre que celle du brigand comme mélodie des sirènes. Le besoin de s'y référer, sans se retourner. - Age : Quarante-deux fleurs fânées que le printemps chaque année fait renaître - Date & Lieu de naissance : là où les flocons sombrent, l'écrin vert renaît, ce vingt mars mille-neuf-cent-quatre-vingt, sous l'éclat du printemps à Indianapolis - Situation financière : l'argent n'est pas un frein à son ascension mais ses comptes subsistent modérément, ni aisée, ni dans le besoin - Statut civil : la bague au doigt synonyme d'une idylle avortée une fois le quotidien consommé, les erreurs du passé comme obstacle à l'épanouissement marital. Le regret de s'être écartée du droit chemin. Les ombres au-dessus de sa vie avec pour seule emprise que celle qui n'est plus, repoussées par la chevalière aujourd'hui presque sereine quand sonnera le glas de son divorce - Orientation : se conjugue au masculin - Métier ou Etudes: les cicatrices sur son coeur d'un passé tumultueux où l'oeil masculin lorgnait sur ses formes contre quelques deniers. Les frasques d'une jeune fille à peine adulte. Loin des mésententes de jadis, elle oeuvre désormais en tant que sergent au CPD chargée des missions de surveillance et d'information - Groupe : Indécis
Caractère L’ordre le plus certain, la rationalité à toute épreuve comme seconde raison d’exister. L’angoisse logée derrière son bureau adroitement rangé, ses papiers toujours à jour. Aucune mèche qui ne dépasse de sa queue de cheval tirée. Le rouge à lèvre d’une netteté sans limite. Des heures durant à assurer sa tenue et son maquillage. Des heures à peaufiner ses dossiers pour toujours demeurer la meilleure, la première. Complexe d’infériorité qui la prend dès qu’elle regarde en arrière. Le nœud au ventre qui la fait agir souvent sans réfléchir. Aussi réfléchie qu’elle soit dès qu’elle doit taper sur son clavier ou mettre en place un plan, une fois lancée dans l’action, elle devient machine et, les sentiments et émotions n’existent plus, il n’y a que la cible à arrêter. Tête brûlée qui s’assume, la petite fille qui a trop vite grandi ne mâche guère ses mots. Ils sont parfois indélicats mais elle les réserve pour ceux qui le méritent. En réalité, l’ombre fuit tout contact depuis l’échec de son mariage, peut-être même avant ? Le seul témoin de son changement ? Melvin. Le seul qui mérite son admiration, les autres ne sont que des passagers. Eprouver quelque chose, c’est se fourvoyer. Accorder sa confiance ? C’est la voir dans un futur proche piétinée. Adriana ne compte que sur elle, comme toujours. Pas par envie mais par choix. Il vaut mieux souffrir seul qu’à plusieurs. Elle ne supporte s’apitoyer et laisse souvent à Melvin le soin de gérer les veuves épeurées ou enfants lunatiques. Le discours trop tranchant et souvent mal interprété.
Carapace bien rôdée pour cette justicière qui, tel Batman revêt chaque jour un costume devenant autre. Car au fond…il n’y a que le stress de mal faire. De mal être. De seulement être la charmeuse contre argent et non l’héroïne de chacun. La barrière est mince dès que la réputation joue. Volontaire, elle est toujours la première à offrir son aide, beaucoup associant cela à de la superficialité pour se faire bien voir alors qu’il en est tout autre. Attentionnée, elle sait écouter mais guère raisonner car incapable de panser ses propres maux. Néanmoins, reconnaissant ses torts sans sourciller, elle s’intéresse aux autres, à sa façon. Elle ne sait se poser car c’est ce sont dans ces instants que reviennent les existentielles questions. Passionnée, on ne l’arrête jamais. D’un point de vue extérieur, elle est la prétentieuse de service qui fait tout pour se faire mousser. Préférant ne pas démolir cette image, les critiques ne l’atteignent guère car s’ils découvraient les fragments de son existence, elle en serait mortifiée, n’assumant qu’à moitié les sévices moraux et physiques infligés à son corps au nom d’une prétendue destinée distillée dans ses veines à coup de seringue. Les ravages de cicatrices encore brûlantes comme témoin de son déclin. La pente remontée n’a pas été aisée mais l’esprit n’oublie. Le chef comme garde-fou de la belle lorsque les fantômes s’avancent.
QUESTIONNAIRE
Votre plus grande faiblesse (point faible) : Melvin assurément. Sa vie lui importe peu. Sa réputation ? Fragile bien qu'elle laisse penser que ce soit le plus qui compte pour elle. Son habitation ? Probablement point. Son compte bancaire ? Il n'y a rien à y piocher de particulier. Les siens ? Ils sont absents. La seule et unique constance de son existence demeure le chef de sa brigade. Un cruel dilemme car si on lui enlève son pilier, il risque de ne rester que les cendres de sa renaissance. Le saut de l'ange vers un ailleurs inconstant.
Votre plus grande peur/phobie : Perdre le contrôle. Littéralement. Retomber dans ses travers d'antan. Cette fosse aux serpents de laquelle elle s'est extirpée. Il n'est pas aisé de briller mais retourner vers l'ombre et être consumée par ses démons ne l'intéresse point.
Votre groupe sanguin : Ce "O+" qui n'est guère une exclamation mais peut sauver comme condamner.
Que pensez-vous de la ville et de cette légende : Bourgade des plus sommaires selon Adriana qui n'attache son regard que sur ce qu'il y a de plus beau, la nature luxuriante et guère l'anarchie des constructions, se sentant y étouffer. Néanmoins, l'éloignement avec la grande cité Chicago demeure moins anxiogène. Pourtant, ces étranges histoires qui circulent comme des bruits de couloirs sans qu'on puisse réellement y mettre des mots dérangent la blonde. Guère friande de problématiques d'outre-tombe, il reste cependant un mystère logé derrière tout ceci. Et Addie qui prenait le destin fatidique comme geôlier de son existence s'en est presque remise aujourd'hui mais ses vieilles croyances sont-elles réellement enfouies ?
Pourquoi venez-vous, vous installer en ville '(nouveau départ, pour la légende, pour la famille) : Il y a peut-être cette légende qui trouble ses pensées car depuis toujours elle sent une force irrépressible l'emporter et la belle se dirait incapable de contrôler sa vie. Pourtant, l'être humain et seulement lui lui a prouvé le contraire. Celui-là même dont elle cherche à se rapprocher, physiquement. Prétextant un changement d'air, son esprit serait-il encore aux mains d'autres bourreaux ou est-ce simplement ses émotions qui la guident ? Evidemment, elle se refuse à accepter l'une ou l'autre des hypothèses, préférant parler de besoin de communier avec l'air de la nature, loin de l'oxygène saturé de la ville.
HISTOIRE
« Tu diras aurevoir aux étoiles pour moi car ce monde n’est plus beau, leur lumière ne m’éclaire plus. »
Paroles griffonnées sur ses bras alors que le panneau miteux du motel où son corps repose, lové contre le sol, ne cesse de clignoter. Un cliquetis lancinant, seule mélodie à la buée qui endort ses sens. Pantin anonyme gisant ainsi. Statue inerte au sourire béat, la poupée désarticulée d’un royaume bien trop grand, mangée toute entière par les vices passés. La fumée d’une cigarette pervertie par des substances édulcorées laissant sa chair, torpille de toutes ces drogues qu’elle ingurgite. Sourire béat plaqué sur ses lèvres impies, celles-là même qui ont cerclé bien des impurs. Baisers guère apprivoisés, concédés contre des deniers malaisants. L’abandon de son être contre d’autres pour vivre. Les paupières lourdes d’un sens qu’elle cherche encore en vain. Les ténèbres qui inondent et la partition se rejoue, inlassablement. Adriana, petite chose aux boucles blé, le carmin aux joues face à l’exaltation des journées de printemps où elle peut rivaliser à la course avec d’autres enfants. L’innocence placardé sur le minois, les yeux maternels rieurs là où la chevelure est empruntée au père. Idole des autres, monstre de cauchemars bien trop imposants pour une enfant de cinq ans. Le fléau d’un univers étriqué dans des règles tacites, celles de pourvoir aux besoins des siens. La bienveillance en cadeau, cette dernière, arrachée aux Lewis. Les coups comme seule réponse aux discordes. Les cris quand les embruns du whisky fermentent. Les reproches d’une vie changée par la perversion féminine. Trafic de pilule, problème de protection. L’ange devient bourreau. Fustigée, la colombe, mère d’Addie. Trahison conjuguée au masculin. Les yeux purs face aux sévices subis par l’aimée.
L’esprit adulte brouillé par ces souvenirs. Les poings féminins se serrent quand ses genoux remontent contre sa poitrine, prise d’une convulsion, elle resserre l’étreinte de ses bras contre son corps nu. Les yeux mi-clos, elle discerne la silhouette fugitive de son elle à peine âgée de huit ans.
Les fastidieux devoirs. Le bois de la table qui craque sous la main paternelle. La voix monte. L’incendie s’annonce car les ressources viennent à manquer. L’hydromel aux abonnés absents et les cris s’intensifient jusqu’à que les doigts agrippent la nuque de la jeune, laissant leur passage à jamais gravé sur l’encolure d’Adriana. L’horrifiée mère qui prend enfin conscience. Alors, sa mémoire retrace le chemin de leur voyage jusqu’à chez la sœur maternelle, marraine de la princesse déchue.
La toux s’empare d’Adriana qui peine à ouvrir entièrement les yeux, collés par son mascara et les larmes adjacentes. Le prochain client s’annonce pour bientôt. Les genoux au sol, cambrure difficile, elle se traîne jusqu’à la salle bain sordide de la chambre pour faire ruisseler l’eau glacée sur son corps.
Et elle hurle. Echo sordide de son absence. Il n’est plus là ce monstre dans leurs vies mais il demeure caché sous son lit. D’ailleurs, elle ne clôt point les yeux durant toute la douche par peur qu’il surgisse de l’ombre, jamais. Même si le savon dilate ses pupilles comme l’éclair.
Fragment de ce jour où elle sait, ne devinant rien. Indianapolis demeure sereine mais lui ne brille plus. Elle est étudiante fragile, la donzelle aux frasques certaines, au potentiel notoire. L’ado lambda dans sa splendeur. Seize ans gâchés par l’annonce. Un courrier, adressé à sa personne. Il est désormais interné et s’y donne la mort, un an plus tard. Elle refuse de s’y rendre car elle ne ressent rien. Le vide qu’il laisse n’est pas à combler car il n’a jamais existé. Elle se sent seule et pourtant si proche car sa fin ne ressemble-t-elle pas aux cauchemars qui l’aliènent ? A ses réactions parfois excessives ? La peur de trop lui ressembler revient. Le pilier maternel jamais présent durant ces dernières années flanche, sa sœur ayant depuis un moment lâché l’affaire et voguant vers un soleil plus luxuriant au bras d’un riche héritier. Le poids des remords trop lourd. Sa mère disparait à son tour en énième séjour en maison de repos et Adriana n’a plus qu’elle pour s’assumer. Ce « destin » qui paraît lui coller à la peau la conduit vers des sentiers périlleux dans lesquels elle s’embourbe. Mauvaises fréquentations, drogues diverses, alcools, fêtes où les corps se mélangent et argent qui lui assurent un toit. Son quotidien sordide ne la contente mais elle se perd au détour d’un chemin et mélange les substances pour ne plus rien voir.
Elle dessine les contours de Chicago sur l’eau lové contre le mur, les doigts tremblants. Il est là. Elle revêt de simples sous-vêtements épousant à la perfection son corps de jeune fleur et sort de la salle de bain, encore trempée, les cheveux ruisselants.
Sa mère apparaît un instant dans un coin de la pièce, pourtant bien loin de Chicago. Réminiscences d’un passé laissé il y a quelques mois à Indianapolis, suivant un fiancé factice aux portes de Chicago, volatilisé quelques jours après lui laissant simplement cette chambre de motel en cadeau de départ. Alors, Adriana alias « Blondie » fait ce qu’elle sait faire de mieux. Troquer son corps contre de l’argent, l’endroit s’y prête aisément. Récupérer des pilules, de la poudre, des bouteilles. Pourtant, rien ne traîne lorsqu’il pénètre dans la pièce. Lui au regard d’acier. L’aliénée au sourire méprisable l’accueille les yeux bordés de rouge et noir, la bouche doublée par les effets du maquillage et l’œil bien trop rétréci pour être sain de toute substance. Il n’est que le prochain donateur et elle va lui offrir généreusement ce qu’il désire pour replanter ses crocs dans la poudre. L’humanité l’a quittée mais les doigts tremblent toujours, alors elle passe ceux-ci dans ses cheveux. Lionne sauvage aux abois, laissée sur le bas-côté par la meute. Faisant courir sa langue sur ses lippes, dangereusement, sans aucun désir ni fierté. Ils ne parviennent jamais jusqu’au lit puisque leurs corps ne s’embrasent pas cette nuit-là. Ce sont les mots qui s’enflamment. Lui proposant à boire pour distraire le mâle et mieux l’assommer. Ses répliques l’alertent. Il sait converser, elle qui n’a échangé de réels mots qu’avec sa bouteille ces derniers mois. La pression de ses yeux écarquillés retombe.
Parce que leurs discussions ont débuté et ne sont plus arrêtées. Dès que l’alcool et la drogue s’en fut, les mots prirent le dessus. Elle sait lorsqu’il vient et se repère même dans les jours. La prise de pilule se fait plus sporadique. L’alcool disparaît au profit de sodas. L’argent toujours mais ce n’est plus la communion des corps qui incombe, seulement la communion des esprits. Elle ne sait pas la saveur qu’il a mais connait par cœur ses répliques fétiches de film. Son odeur n’enivre les narines féminines, c’est son groupe préféré qui résonne dans l’enceinte du motel où elle loge sans avoir bougé. Il a fait ce que personne n’a fait auparavant, il n’est pas parti. Alors, elle a laissé voguer ses démons et le monstre sous le lit ne se terre plus que quelques nuits par mois. Puis par an. Elle a trouvé un logement et s’est inscrite à la la Timothy J. O'Connor Training Academy au sein du Chicago Police Department, idée soufflée par ce mentor insoupçonné. Finalement, c’est une vocation qui se dessine. La belle travaille d’arrache pied et met un point d’honneur à demeurer la meilleure. Elle sort major de sa promo et obtient ainsi son diplôme. Néanmoins, l’image trompeuse d’une donzelle au regard factice et aux airs supérieurs ne parviennent à laisser son cercle privé s’intensifier. Et c’est tant mieux car c’est Melvin qui acclame sa réussite. Repas guère aux chandelles mais échange de mots sans que jamais ils ne se lassent. L’étrangeté de cette relation comme seul ciment de son renouveau. Il veut qu’elle prenne sa chambre d’amis mais c’est l’hôtel où va ses préférences.
La routine s’installe. Oeuvrant dans le même bureau de police, ils se voient, se saluent mais rien de plus. Adriana ne souhaite qu’on la pense « favorisée » et « aidée » car il préside, désireuse de gravir les échelons par elle-même. Ils se retrouvent loin des regards soupçonneux pour converser. Mais alors, pourquoi l’avoir suivi jusqu’à cette ville au passé trouble où les démons semblent rôder ? Prétextant un besoin de changement et apprécier les légendes urbaines. Pourquoi chercher ce rapprochement alors qu’elle se délecte de leurs syllabes ? Le mirage des lippes masculines à chaque fois dans son viseur. La curiosité de savoir la température de sa peau. Et si elle posait sa main, juste une fois, sur sa joue ? Il sait les cicatrices à la racine de ses cheveux mais que se passerait-il s’il y posait son bras ? Les maux ressurgiraient-ils ? Sait-il qu’elle n’attache jamais ses cheveux en hauteur car elle porte cette plaie ouverte comme la lettre écarlate ? Est-il au courant du seul mensonge jamais gardé par la belle ? Cet Addie dont il use pour l’appeler. Ce même surnom prononcé entre seule autre paire de lèvres masculines, celle de son géniteur. La douce caresse de retrouver un semblant d’humanité au contact de ce simple mot, dans la bouche de Melvin. L’esprit rongeur par la torpeur qu’un jour elle commette un faux pas et revoit ces « autres » autour d’elle. Les démons tapis dans l’ombre avançant dans la lumière.
Derrière l'écran
Pseudo : Haven - Prénom : Cat. - Age : 30 tout rond - Où avez-vous connu le forum :@Melvin A. Cross l'unique - Connexion : 3/7 nous dirons c'est fluctuant - Multi comptes : je suis incapable de me dédoubler pour l'heure - Avatar : Katheryn Winnick - Scénario/Prélien :https://silentgrave.forumactif.com/t141-f-pour-vivre-heureux-vivons-cache-katheryn-winnick?nid=1#490 @"Melvin Cross" (du créateur) - Autre à dire : sur vous - Je réserve mon avatar pour une durée de 7 jours : si oui je remplis le code :
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○ [i]Katehryn Winnick[/i] - @"Adriana Lewis"
Sujet: Re: Adriana + partition désaccordée Jeu 24 Mar - 21:07
Invité
Invité
Tu sais déjà tout mais... ?
J'suis vraiment trop content que tu sois là Ça va être fou ; j'ai trop hâte de les voir évoluer Un immense merci
Bienv'nue officiellement parmi nous, chaton Tu sais où m'trouver, en cas de besoin
Sujet: Re: Adriana + partition désaccordée Jeu 24 Mar - 21:09
Je... ? Cette fiche ! Je n'ai pas les mots J'aime tellement ta plume à l'origine, mais là... ? Tu ne m'avais pas menti /SBAAAF/ Quand tu disais adorer Katheryn, ça se voit On te sent vraiment inspirée par le personnage, une fois de plus Si parfaite, si merveilleuse
J'ai l'impression de ne pas DU TOUT paraître objectif /SBAAAF/ Pour moi, c'est tout bon, trésor Tu peux aller faire ta demande de validation
Sujet: Re: Adriana + partition désaccordée Dim 27 Mar - 18:12
Magnifique tu es des nôtres ! Les portes de la ville s'ouvrent devant toi et tu peux enfin parcourir tous les recoins de la ville sans limites, c’est fantastique !
Afin que tu ne te perdes pas dans la précipitation qu’est la découverte nous te conseillons de suivre les liens suivants cela te sera utile pour trouver un entourage de confiance, mais également pour faire parler de toi sur les réseaux sociaux et si tu n’as pas encore d’amis ou de famille dans le coin tu peux faire des scénarios histoire de les faires déménager dans le coin. Nous te demandons aussi d'aller remplir les bottins.
Voici donc quelques liens utiles afin de t’intégrer avec plus de facilité.